Rencontre frère-soeur. [ PV: Taylor ]

J'étais chez Florian Fortarôme avec des amies. Ensemble, nous dégustions de délicieuses glaces. Une à la fraise pour moi; une à la vanille pour Mélanie; chocolat-café pour Peach et pistache pour Sindy. Elles étaient en train de me faire la morale. En effet, elle voulaient que je me trouve un garçon. Tu parles! Mélanie est divorçée depuis trois mois, Sindy est célibataire, seule Peach est en couple. Mes trois meilleures amies commençents vraiment à ...m'énerver! Pendant qu'elles parlaient, je pensais à mon rendez-vous avec Taylor. Mon frère. Enfin, c'est tout comme. Encore une réunion pour l'Ordre du Phoenix. Je n'avais pas parlé de l'Ordre du phoenix avec mes copines. J'avais parlé des forçes obscures qui réaparaissaient, certe; mais elles ne m'avaient pas écouté. Peach s'était moqué de moi et Mélanie l'avait suivie. Quand à Sindy, elle n'avait rien dit. Soucieuse. Il faudrait que je lui en parler. Seule à seule bien sûr.

-Eoooooh!!! Tu es avec nous Maëlle?
-C'est clair!!! T'es avec nous là?
-Mais laissez-là les filles!

Je jetai un regard de remerciement à cette dernière.

-Désolé les filles, je revassai.
-On voit ça! Tu pourrais faire un effort non?
-Oui navré. Euh, en réalité j'ai un autre rendez-vous.
-Yeeeeeeeeeeees! Je savais que tu voyais un garçon. Pourquoi tu ne nous as rien dit petite cachottière?
-Mais...
-Tu ne nous fait pas confiance? C'est un artiste? Un athlète? Tu te protèges au moins?
-Les filles Stop! Ce n'est pas ce que vous pensez! C'est mon petit frère.

C'est alors que Sindy se reveilla de sa transe..

-Petit frère? Ton grand-frère tu veux dire?
-Aaaah oui!!! Arthur. Il est trop craquant!!!
-Non. Il s'appelle Taylor. C'est mon petit frère de coeur.
-Et tu sors avec lui.
-Non.
-????
-Je ne suis pas amoureuse de lui. Bon les fiulles on reparlera de ça plus tard, là je dois y aller sion je vais être en retard.
-Aah oui?!? Il est plus important que nous trois?

Je ne pouvais bien sûr pas lui dire que ce rendez-vous était pour l'Ordre du Phoenix.

-Ne sois pas jalouse Mel! Ne sois pas injuste! dis-je

Sur ce, je mis un peu de monnaie sur la table en disant "Bisous les filles". Du coin de l'oeil, je vis Peach se pencher vers Mélanie et lui murmurer quelque chose au creu de l'oreille. Je règlerais ce problème plus tard. J'avais un rendez-vous au chemin de Traverse, à côté de Gringott. Je marchai à grands pas, consciente que si je ne me dépêchai pas, je serai en retard. Je pressai le pas. Une fois devant le grand batiment blanc, je le cherchai des yeux. Mon petit frère, il faut l'avouer, est vraiment beau. A chaques secondes qui passaient, j'étais de plus en plus impatiente. Je voulais le serrer dans mes bras, me coller à lui...

Gertrude est morte ! Vive Gertrude ! Pensée qui n'avait aucun rapport avec la situation mais ce fut la première qui me vint à l'esprit. Et puis quand même... Gertrude est morte ! Vive Gertrude ! Gertrude c'était, ou plutôt et malheureusement ça reste ma grand-mère. Aucun lien nous a jamais uni mais je suis contraint de quitter Poudlard, mes amis, mes ennemis pour aller à ce stupide enterrement. Toutefois pour une fois je la remerciais. Gertrude venait de me donner la possibilité de voir ma grande-soeur. Peut-on en vouloir à un ado de se montrer aussi froid ? Pouvait-on m'en vouloir de n'éprouver aucune peine ni remord ? L'enterrement se déroula par un froid jour de septembre. Le temps était aussi vide d'intéret que les évènements qui allaient se passer. Plusieurs groupies m'avaient proposé de m'accompagner, mais depuis quelque temps je venais à les trouver ennuyeuses. Toujours pareilles. Aussi idiotes, ne pensant qu'à se rouler auprès de moi à me courtiser. N'avaient-elles donc pas compris que mon coeur était pris ? N'avaient-elles donc pas compris qu'il était inutile de rivaliser avec Isabella Black ?
Etant le plus costaud de la famille je fus charger, à l'aide de cousins plus ou moins germains, je dus porter le cercueil. Des regards jaloux s'élevaient à mon égard. Qu'avaient-ils ? Voulaient-ils porter eux aussi le cercueil ? Dans ma famille je n'étais pas particulièrement aimé. Sorcier, j'étais considéré comme un monstre. C'était notamment la cas pour ma chère Gertrude. Elles avaient d'ailleurs gaté tous ses petits enfants sauf moi. J'avais souvent le droit à des remarques vexantes. Ainsi soient-ils. Chez les filles de ma famille je ne produisait jamais le même effet qu'à Poudlard et dans le monde magique. Elles m'accusaient d'user de charmes pour conserver cette beauté merveilleuse. Je n'en avais cure. Mes parents, quant à eux, étaient étranges. En famille ils n'osaient pas dire qu'ils m'aimaient, ne prenant jamais ma dèfence et au contraire... Ainsi inspiraient-ils pitié face aux autres membres. Mais lorsqu'on était seul ils me choyaient, s'excuser, m'aimaient. Etait-ce pas peur que je me retourne contre eux ou simplement parce que c'était vrai ? Sans doute ne le saurais-je jamais.
Le cercueil fut acheminé jusqu'à bon port. Et après de longues palabres, toutes plus ennuyantes les unes que les autres, de longs larmoyements et des cris geignards, le prêtre put commencer. Inutile que je vous fasse par de ses rapports car ils furent sans intérêt. " Gertrude Camy résidera à jamais dans nos coeurs pour toutes les bonne sactions et les souvenirs joyeux qu'elle nous àç apporté." Tralali trallala. Vous voyez le genre enfin... Gertrude pu enfin rejoindre le paradis. Le paradis... réel ou fictif ? Sans doute ne le sauront jamais. Qui serait capable de nous en informer ? Les hommes de religion étaient si absorbés par leur foi qu'il n'était même plus crédibles... Certes leur foie c'est quelque chose de formidable mais est-ce qu'un seul d'entre eux était revenu de l'au-delà ?... Certes il y avait les fantomes mais la majorité d'entre eux craignait tellement la mort que le simple fait d'en parler les remplissait d'effroi ou simplement ils n'osaient en parler. Puis chaqu'un d'entre nous montîmes en voiture. Direction la maison, où allait pouvori commencer un banquet encore plus longs que tout ça. Heureusement que je verrai bientôt Maelle, car sinon je crains que je n'aurai pu survivre.
Pour commencer : l'apéro. En tant normal j'aime boire mais là ce je ne touchai à rien. Attablée devant leur verre d'alcool, une bouteille par personne, la remplissant aussitôt qu'elle fut vide, ma famille unifiée par la tragédie se lamentait, se rappelant les bons souvenirs :

- Et vous vous souvenez lorsque Gertrude me disait : "Oh jeune fille, vous êtes si jolie que lorsque vous souriez on dirait un vieux pissenlit abimé seul au milieu d'une clairière", se souvint ma mère les larmes aux yeux.
- C'est qu'elle était si poétique
- Une vraie artiste.
- Hélas elle n'eut guère le temps de se faire un nom dans ...hic... la poésie.
- Et quand elle em révélait que mon fils était aussi appétissant qu'un mrceau de sucre... sucré, dit mon père hoquetant.
- Elle disait vraiment ça grand-mère ? demandais-je tout à coup, aberré. C'est que la vieille était vraiment dérangé...
- Mais oui mon chou, sourit ma mère. Elle rajoutait même des fois qu'elle était fière de sentir ta bonne odeur de gateau trop cuit.

Je me sentis rapidement. Je n'avais jamais remarqué cette odeur et je ne la remarquai pas là non plus. Oui l'alcool est mauvais pour la santé, d'ailleurs ils oubliaient presque le mépris qu'ils avaient d'habitude à mon égard.

- Ah... J'oubliai que grand-mère était cannibale. marmonais-je.

Pour toute rèponse j'eus droit à des regards noirs. Ca devenait dangereux... La boisson leur montait certainement trop à la tête. Je devais partir d'ici. Bientôt ils deviendraient violents.

- Hey je rigolai. Puis-je débarrasser la table ?

J'étais rarement serviable mais cette fois je n'avais pu m'en empécher à la place d'être le plus discret possible.... Nouveaux regards noirs...

- Non merci fils. répondit mon père.
- Pa' ne m'appelle pas comme ça, ralais-je. Ca fait église...

Pas de rires.... Peut-être avaient-ils trop mangé de priéres et tout après tout. Peut-être m'inquiétais-je pour rien. Mais je ne pouvais pas els laisser boire, c'était plus forts que moi. D'un sortilège rapidement prononcé je fis disparaître les bouteilles. Toute la famille était au courant de mes pouvoirs donc je ne risquai pas grand chose... mais il était déjà trop tard. Tous se levèrent, marchant, titulant tel des zombies vers moi. Je ne voulai pas les blesser, ce serait idiot. Alors je me laissai faire. Et du sang ruissela d'un peu partout sur mes joues. Si je ne faisais rien ça allait devenir encore plus violent. Alors je sautai par la fenêtre, réussissant miraculeusement à me dégager de leur étreinte. La réception fut désastreuse, je collectai encore de nombreux bleus mais fus acceuilli par le magicobus. Depuis el temps qu'il était là celui-là.

- Où vous puis-je vous emmener monsieur ? me demandai un petit homme.
- Au chaudron baveur, répondis-je immédiatement.

Le chemin se déroula sans annicroche. Ne connaissant guère de sort de guérison tout ce que je pus faire c'est stopper l'hémoragie. Mais mon visage restait lamentable à voir. Enfin à pied je me dirigeai à Gringotts, là où m'attendait Maelle. Délicatement je lui pris les mains et lui glissai :

- Comment vas-tu grande soeur ? Excuse moi je suis un peu en retard.

Le vent était également au rendez-vous. C'était juste si j'arrivais à tenir debout. Bon, il faut dire que je ne suis pas bien grosse... Malgré le froid, le soleil brillait dans le ciel. Une bonne journée de Septembre. J'avais prévenu Nicolas Vieira, le directeur de Poudlard que je ne pourrais pas venir aujourd'hui à Poudlard. Il avait donc repoussé mon premier cours de potion (que je n'avais pas du tout préparé) au lendemain. On pouvait dire que j'étais dans la... merde. Mais revoir Taylor me ferrait du bien. Sa présence, me calmait. A quoi ça sert autrement un frère ou une soeur? Le temps passait lentement et Taylor n'était toujours pas là. Mais je savais qu'il viendrait. Jamais il ne me poserait un lapin! Je repensais aux filles que j'avais laissé chez Florian. Il faudrait que je leur parle et que nous nous expliquions. Etaient-elles de vrais amies? Je commençais à douter. En général, des amies, on peux tout leur dire et ce n'était pas vraiment la cas avec Melanie, Peach et Sindy. Enfin, peut-être que tout s'arrangera un jours. Je commençais vraiment à grelotter. Au bout d'un moment, deux mains prirent les miennes. Deux mains chaudes. Deux mains douces. Très agréable.

- Comment vas-tu grande soeur ? Excuse moi je suis un peu en retard.

Il était là. Je me retournai et le serrai dans mes bras et lui répondant.

-L'essentiel est que tu sois là Taylor. Je vais très bien merci. Et toi?

J'avais déjà oublié mes trois... amies? Je lui souris. Il avait encore grandit. Il était comme Roméo! Il ne s'arrêterai jamais! Je reculai pour mieux le voir. Il était toujours aussi beau. A présent, il devais mesurer au moins... dix centimètres de plus que moi. Certe, j'étais ici pour palrer de l'Ordre du Phoenix avec lui, je devais aussi lui dire autre cose. De grave...


{FINISH}

Mon petit-frère n'avait pas changé. Il était toujours le même Taylor. Toujours aussi vantard. Mais son beau sourire d'ange me faisait oublier son caractère qui m'exaspérait au plus haut point. Il était toujours aussi mignon. Il l'avait toujours été d'ailleurs!

- Oui je vais bien... à merveille...

Il me fit son magnifique sourire que j'aimais tant. Taylor avait toujours été la personne avec laquelle je voulais être la plupart du temps, lorsque j'avais envie de changer d'air, ou d'entourage. Il était toujours là pour moi. Bon bien sûr, je serais également toujours là pour lui... Pour mon Taylor.

- Que deviens-tu Maëlle ? Pourquoi ce rendez-vous autre que pour admirer mon visage d'ange ?

Il avait raison, je ne l'avais pas contacté pour parler de la pluie ou du beau temps, ni pour, comme il l'avait si bien dit, admirer son visage d'ange. Bon, peut-être un petit peu... Pendant un instant, je fus absente. Oui durant quelques secondes (peut-être des minutes), j'était de retours à Poudlard, par la pensée. J'étais en 7ème année avec James. Mes amis (Roméo, Taylor, Toya, Selena, Ayana...) étaient avec nous. Nous étions sous le vieux chêne, un après-midi de printemps. Nos pantalons étaient retroussées aux genous pour pouvoir tremper les pieds dans l'eau pourtant glaçée du lac. C'était le passé car en effet, il y a quelques années, j'avais vécut ce que je voyais en ce moment. Mais au bout de quelques instants, l'image se brouilla et je retournai dans la réalité. J'ignorais combien de temps j'avais été absente. Ce phénomène étrange m'arrivait souvent ces temps-ci. Il faudrait que j'aille à l'infirmerie de Poudlard. Je regardais Taylor. Il avait l'air d'attendre que je lui réponde. Je le regardais dans le yeux, génée de mon innattention.

-Je t'ai contacté pour trois raisons Taylor, dis-je. Bien sûr, pour admirer ton beau visage d'ange, mais aussi pour te parler de choses... un peu moins amusantes. Pour l'Ordre du Phoenix Taylor. Je me tus pour voir sa réaction.

Nous continuâmes à marcher dans la rue du chemin de Traverse. Je lpris la main de mon petit frère...

Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu Taylor. Il m'avait vraiment manqué! Il y a quelques années, lorsque j'étais à Poudlard avec lui, je le voyais tous les jours et nous étions très proches tous les deux. C'est à ce moment là qu'il est devenu mon frère de coeur. A présent, nous nous voyions très peu souvent mais les sentiments que j'éprouvais pour lui n'avaient pas changés. C'était toujours les mêmes: une amitié plus forte que le autres. Mais en ce moment, j'étais en colère contre lui. Enfin... pas en colère mais j'avais quelque chose de grave à lui dire. En plus de l'Ordre du Phoenix. L'histoire de Toya et du bébé qu'elle portait. Je le regardais. Il avait l'air innocent. Mais il était coupable. Autant que Toya d'ailleurs!

- Aurais-tu besoin de mon aide à ce sujet ? Tu sais que je pourrai t'aider... Quelque chose en tourne pas rond dedans ?- Mais dis moi voici là seulement deux raisons, où est passée la troisième.

Je souris malgré mon inquiétude. J'allais commencer par l'Ordre du Phoenix. C'était contrare à mon habitude mais tanpis. En effet, j'avais l'habitude de commencer par le plus embêtant. Comme lorsque j'étais petite et que nous mangions steack-frite savec des petits légumes. Je commençais toujour par les légumes (ou je les donnais au chien ^^) Bon alors Taylor, par quoi commençer?! Je pris la parloe:

-Bon, nous allons commençer par l'Ordre du Phoenix Taylor. Je voulais te proposer quelque chose... Est-ce-que tu aimerais en faire parti? Je recherche des membres. Et j'ai pensé à toi. Pour l'instant, j'ai surouit des élèves mais bientôt vous serz des adultes alors... je vous propose... Tu aimerais?

Je me tus. Il était à présent temps de répondre à sa deuxième question0 Je m'accordai deux minutes de silence. Nous marchâmes dans la rue. Je tournais la tête vers lui. Je n'avais plus aucune envie de lui parler de ce sujet. Mais il le fallait:

-Ecoute Taylor, je... Je voulais te parler de cette nuit où... Enfin... Cette histoire avec Toya et euuh...

Stop. Je m'arrêtai là. Je voulais qu'il parle pour voir comment il l'avait prit...

Faire parti de l’Ordre. Tous les ados de mon age en rêveraient mais… moi je n’en savais rien. Le bien et le mal…deux notions bien trop vagues. Plus jeune je m’étais amusé à me dire que j’étais le gentil et que ceux que je n’appréciais pas étaient les méchants mais en grandissant étaient venus les doutes. Est-ce qu’un blanc pur existait réellement sans aucune touche de gris ? Est-ce que le néant avait toujours aucune clarté ? Et surtout voulais-je réellement être gentil dans le sens ou l’Ordre l’entendait ? Ne rêvais-je pas d’un monde plus métis ? Et puis j’avais rencontré Allys… d’après le peu que je savais d’elle j’avais deviné qu’elle n’était pas un modèle de bonté et pourtant j’appréciai sa façon d’être. N’aimais-je pas l’odeur du sang de mes adversaires également ? D’un autre côté c’était Maëlle, celle qui ressemblerait le plus à la grande sœur dont j’ai toujours rêvé. Mais pouvais-je lui être d’un quelconque secours ? Là où elle avait échoué je ne pourrai réussir ? toutefois je représentai toujours une force de plus… Je ne pouvais m’opposer à sa douce clarté, tout comme je ne pouvais tourner le dos non plus au côté obscur. Toutefois j’étais à gryffondor et ne méprisais-je pas ces petits bons à rien de serpentard ? Par respect, par amour pour Maëlle et Bella je m’engage à rester du bon côté… et surtout afin de m’assurer qu’il existera toujours du bon en moi… Wow ! Que je peux être solennel des fois…

- Ce serait un plaisir de faire parti de l’ordre, surtout lorsque c’est toi qui me le propose.

Je n’avais pas menti, travailler sous ses ordres ou plutôt ses directives ça serait plutôt cool ? Et elle me l’avait proposé ? Puis de toute façon il était hors de question de me diriger vers une autre issue. Peu après elle en vain à parler de ce dont il ne fallait pas mentionner. De Toya… et du gosse qu’elle portait. De ce fils que je ne pourrai jamais reconnaître comme étant le mien… d’ailleurs il s’était déjà trouvé un père en ce blondinet. De quoi me rendre encore plus furieux... mais pas seulement. Pour une fois je ne ressentis en rien de la colère ou du mépris. Ce pauvre petit gars ne deviendra jamais quelqu’un avec le père qu’il avait alors que si je le prenais sous mon aile il deviendra puissant ??? mais pour l’instant il était trop jeune, il ne deviendra intéressant qu’à partir de cinq ans. Mais étais-je capable de vouloir cette chose ? Et si ce n’était qu’une fille moldue ? Non je ne veux rien avoir à faire avec ça ? Jamais ça n’aurait du exister ? Je revoyais Toya allongé sur un lit, moi… Non, je n’avais pas le droit de penser à ça. Pour la première fois je fus en colère contre Maëlle. Comment le savait-elle ? Personne n’aurait du être au courant ! PERSONNE !!! Pas même elle.

- Ne parle plus de ça ! Ne parle jamais de ça Maëlle. Parce que je tiens à toi et que j’espère que c’est réciproque n’y faisons pas même illusion… Je ne veux pas te perdre.

Depuis bien des années une larme solitaire coula le long de ma joue. Cette nuit avait été si… si… horrible et je n’en était jamais ressorti complètement indemne. Peut-être qu’après tout j’aurai du, que je devais, me confier pour mieux tourner la page, pour me pardonner à moi-même… mais je ne pouvais pas m’y résoudre. Et que savait exactement Maëlle là-dessus ?

- …Je ne veux pas me perdre, chuchotais-je.

Nous marchions toujours, main dans la main. Allait-il accepter de rejoindre l'Ordre du Phoenix? Ce serait une très bonne nouvelle s'il disait oui. Le seul problème était qu'en cas de bataille, je savais que je ne pourrais pas avoir toujours l'oeil sur lui pour le protéger. Ni sur personne d'ailleurs. C'est pour ça qu'il fallait que je prenne aussi beaucoup d'adulte et des élèves d'au moins 15 ans minimum. Je savais que d'avoir des enfants dans mes rangs était risqué mais je n'avais pas le choix. Trop peu de prersonne se présentaient chaques jours pour rejoindre la société secrete. Et j'ignorais si la face obscure s'agrandissait elle. Petu-être était-il plus de vingt ?! De cent ?! Deux cents ?! C'était une bonne question. Bon, je savais qu'Isabella était en train de reconstituer l'Armée de Dumblodore mais cela ne sera pas suffisement. Il y a avait Phoebe Halliwell aussi qui allait peut-être nous rejoindre. En attendant que mon frère me réponde, je pensait à tout les gens que nous n'avions pas. Puis, intérompant mes pensées, Taylor me répondit. Il acceptait. Je lui pris le visage entre mes mains et lui embrassa le bout du nez. Puis, j'étais sur le point de le remercier lorsqu'il reprit la parole. Mais d'une voix... moins aimable que la fois dernière. Je me tus pendant qu'il me disait de ne plus parler de Toya. Helas, j'aurais bien aimé l'écouter mais parler était le rôle d'une grande soeur. Lorsqu'il eut terminé, je lui répondit, d'une voix douce et posée:

-Je suis très contente que tu acceptes Tay. Aujourd'hui, je ne parlerais pas des détails pour l'Ordre. Tu en sauras plus lorsque tu recevras un hiboux de ma part.

Je me tus, réfléchissant bien se que j'allais répondre pour le sujet apparemment tabou. Celui de Toya. En effet, j'avais appris la veille qu'elle avait accouchée. Je n'avais pas encore put aller voir la belle petite frimousse de Ayden me cela ne devrait pas tarder. Je reculais d'un pas, de façon à pouvoir observer Taylor de la tête au pieds.

-Ecoute Taylor, le rôle d'une grande soeur, s'est de parler. Alors je vais parler et tu vas m'écouter sans me couper. Isabella m'a tout raconté. Toya m'a tout raconté. Et je ne comprends pas pourquoi tu ne m'en as pas parlé toi non plus. Je pensais que nous pouvions tout nous raconter. Tiens, t'ai-je dit que je vais devenir un vampire ?! Non, mais là je t'en parle parce que tu compte beaucoup pour moi. Donc, retournons à nos moutons car je m'égare. Je sais qu'il faut être deux pour faire un enfant et Toya est aussi coupable que toi. Mais l'abandonner comme ça comme une grosse merde (excuses-moi de l'expression), c'est vraiment dégueulasse Tay. Tu aurais pu aller la voir, en temps qu'ami si tu n'éprouvais rien de plus pour elle. Mais la laisser tomber et mettre bien en évidence que tu te fout de ton enfant, c'est vriament... horrible. Lorsque j'ai appris ça, je ne savais que penser. Je... Je ne sais même pas si tu t'en veux et je...

Je me tus. Je ne voulait pas aller trop loin, de peur de commençer une dispute. Et je ne voulait surotut pas me disputer avec Taylor. Je m'approchais de nouveau de lui et posais ma main sur mon épaule. Cooment allait-il réagir ?! Je l'ignorais et s'était ça qui me faisait peur.

Lorsqu'il commença à parler, je reculais d'un pas. La force de sa voix me faisait peur. Les regards qu'il me jetait me faisait peur. Et finalement, je regrettais de lui avoir parlé de toute cette histoire. Après tout, qu'avais-je à voir avec tout ça ?! Rien bien sure! Tous ces jeunes là, je les connaissais depuis notre enfance mais trop d'années nous séparait. A présent, j'avais même l'impression de n'être pour Taylor que sa chef de l'Ordre du Phoenix et sa professeure de Potions. Rien d'autre. Devant la force de sa voix et s'est yeux tantôt triste tantôt lancant des eclairs, j'avais peur de le perdre comme j'avais perdu Miley. Comme j'avais perdu mes parents... J'avancais d'un pas et cette fois, sans un mots, je me nichais au creu de son cou, sentant son parfum. Quelques lamres maglré moi coulèrent le long de mes joues et tombais sur le nuque de mon jeune frère. Aprésent, comptais-je pour lui comme je comptais avant? Je n'en savais rien. ITaylor avait rencontré pas mal de gens et s'était possible qu'il ne m'aime pas comme nous nous aimions avant. Je pleurais, ne sachant pas vraiment pourquoi, serrant fort dans mes bras mon frère que j'étais en train de perdre. Je savais que ce serait horrible si nous nous disputions et qu'il me faisait la gueule. Je ne le supporterais pas. Je le savais. Je chuchotais au creu de son oreille:

-Je n'aurais pas du me meler des affaires qui ne me regardent pas. Je suis désolé Taylor. Je...

Je me décrochais de lui. Que fallait-il faire ?! Bientôt, je deviendrais un vampire et Taylor ne voudrait plus de moi. Devait-je commençer la séparation tout de suite?! Je 'ignorais. Puis, je fis quelque chose sans réflechir. Je tournais les talons et lui tournais par la même occasion le dos.

-Lorsque tu recevras un hiboux de ma part Taylor, fais que je te denamdrais, je t'en conjure. Au revoir petit frère. A bientôt.

Puis, sans un regard en arrière, je commençais à marcher, m'éloignant à chaques pas de mon Taylor. Pourquoi fesais-je ça ?! Je l'ignorais mais je suivais mon instinct. Je reverrais Taylor. Pendant la réunion qui aura bientôt lieu. Il fallait passer à l'action.