Au plus noir de la nuit [ Pv Ciaran ] Attention - de 15 ans :D

Retour a Poudlard, une vie tellement commune pour un sorcier d'un aussi au niveau que moi. Grand mère, tu avais raison, les gens ne sont que des faibles qu'il faut éradiquer. C'est en haut de la tour d'astronomie que je converse avec mon moi intérieur, celui qui doute, celui qui hait, celui qui vit a la place du véritable Ciaran, beaucoup trop faible pour exister. Je n'étais pas enclin a rester tranquillement dans mon dortoir pendant que d'autre s'amuser, d'autre faisant les devoirs qu'ils devaient faire avant le lendemain et d'autre qui dormaient du sommeil du juste. Moi mes devoirs étaient tellement simples qu'ils étaient fait a temps, m'amuser mais avec qui ? Je n'avais que des ennemies et nul amis. Dormir ? Comment le pourrai-je alors que tant de sentiments bouillonnent dans mon corps et mon cerveau. Au plus haut point de la tour d'astronomie, je suis parmi les ombres, quasiment invisible dans cet obscure coin noir qui m'a gentiment accueillit. Les ombres sont plus réconfortant que la lumière, en son sein nous nous y sentons en paix et serin, que l'on soit un monstre ou quelque autre atrocité de la nature les ténèbres nous acceptes alors que la lumière ne sait que nous rejetait. Nous, ce qui n'aurions jamais du exister, qui faisons le mal parce que nous ne savons rien faire d'autre ou juste parce que cela nous amuse. Soudain j'entends des bruits de pas, ce n'est que Roméo, un petit griffondor que je n'ai jamais pu aimer. Un être lumineux, beau et qui a tout pour lui. Enfin cela c'est ce que tout le monde pense mais quand on sait s'informer on sais que le pauvre Roméo est délaisser par la romance, l'amour. Le pauvre à un cœur aussi vide qu'une lande désertique. Cela me fait sourire. J'aime le malheur des autres, il me fait comme me sentir vivant dans ce monde qui n'est que le reflet d'un paradis vide de sentiments. Je venais aussi dans la tour d'astronomie pour pouvoir fumer en paix, le tabac des moldus, cette drogue, était interdit dans l'enceinte de l'établissement. Des règles je n'en avais cure,elle ne me concernait pas et ne me concerneraient jamais. Je ne sais pas comment il a pu faire pour me voir moi qui suis vêtus de noir de la tête au pied. En passant par ma chemise noir, mon jean noir, mes chaussures de cuir noir, même mes chaussettes sont noir ainsi que mon boxer et je ne vous parle pas de mon cœur et de mes pensées. Écrasant la cigarette qui n'était plus qu'un mégot, je sors de l'obscurité m'adossant à un mur de façon a être ni loin du griffondor, ni trop près.

" Roméo. Pourquoi es-tu Roméo..?"

Houla! Mais qu'est ce qui lui prend a ce griffy de seconde zone là! Il se croit dans le titanic sur la proue du bateau ou quoi ? Et bien non. D'un geste vif je l'attrape par le col arrière de sa chemise et le tire loin du bord de la tour. Il est tout contre moi, en le tirant je suis tomber en arrière. je le repousse d'un coup sec loin de moi, me relève et m'épouste. C'est que je me suis salit en sauvant ce moins que rien. En faite je ne sais pas vraiment ce qui m'a pris. Peut être que je ne voulais pas voir quelqu'un d'autre mourir après ce que j'avais osé faire a ne serai-ce qu'un membre de ma famille ... Non, j'ai juste eu un réflexe rien de bien méchant. Même si je le regrette, j'aurai bien admiré sa lente chute du haut de la tour d'astronomie, ensuite j'aurai transplaner jusqu'en bas pour voir les restes écraser du pauvre garçon. Après tout je pense que j'ai une meilleur idée qui m'amusera a la fois et qui satisfera ma curiosité morbide du au fait de son geste. Tirant ma baguette de la manche gauche de la chemise, la ou je la cache toujours, a proximité. Je la pointe vers Roméo puis lance ce sort.

" Incarcerem "

De suite, des cordes sortes de ma baguette et ligote le griffondor comme un saucisson en position assises. Je m'avance doucement et menaçant, accroupie près de ma proie tel un corbeau en manque de nourriture a picorer de son bec funeste, ma baguette se colle a son menton et le lui surélève. Je le fixe, comme si c'était la première fois que je le voyais réellement, un visage si triste, dénué de toute émotions positif. Un parfait bouc émissaire pour moi. Approchant mes lèvres de son oreille je lui murmure tout bas.

" Tu vas me raconter tes malheurs car je m'ennuie."

Je profite de cette proximité pour lui mordre férocement le lobe de l'oreille a laquelle j'avais murmuré après je m'assois face a lui, ma baguette tendu et je lance un des sorts interdit. Sort que l'on ne doit jamais utiliser contre un autre sorcier mais comme je l'avais dit avant, je n'en avais rien a faire des règles et le sort que j'allais lancer était un des pires car il privait la victime du contrôle de son corps. Ce sort était comme une transe hypnotique dont on a du mal à en sortir. Un des sorts que j'affectionne le plus particulièrement.

" Impérium ....
Maintenant, raconte moi ce qui ne va pas dans ta vie, que je ris un peu de ton malheur."

" C'est tout?!"

Alors là je ne peux m'empêcher de rire aux éclats, c'est tellement drôle, hilarant! Non mais la je n'y crois pas, le petit griffy qui veux mettre fin a ses jours a cause d'une fille! Pfff que c'est drôle mais que c'est pathétique aussi. D'un mouvement de ma baguette je lève le sort impérium que j'ai lancé puis je me rapproche de ma proie essayant de calmer le fou rire qui me prend depuis que j'ai entendu cette simple phrase si stupide.

"Pauvre petit Griffy qui n'a pas de chance en amour. Il crève après une fille qui ne le voit même pas comme c'est pathétique."

Je décoche un coup de pied dans le visage si parfait de Roméo pour le mettre à terre, il est toujours ligoté. On pourrai croire que frapper quelqu'un qui ne peux se défendre est lâche, mais ce genre de discours n'est fait que pour les présumés gentilles qui pense que tout le monde doit être beau et gentil envers son prochain. Connerie. La vie est un jeu, si on ne veux pas perdre il faut y jouer a fond et utiliser tout les atouts que la vie nous a donner. Je m'accroupie vers le griffondor et sans ménagement je lui saisit le bras. Je pose ma baguette contre sa peau et commence a faire une fine entaille a l'aide de la magie. Oui je sais je suis un sadique mais c'est tellement bon de voir les gens hurlaient de douleur. Une fois la petite entaille faite, je repasse ma baguette sur cette dernière pour la faire plus profonde et cela au moins deux fois. Le sang de Roméo coule, je le goute du bout de la langue. Il a un gout de rouille, un gout salé, un gout de larmes, un gout de souffrance. Pour ne pas qu'il se vide j'impose a nouveau ma baguette sur sa plaie béante et sanguinolente et je lance un sort qui transforme le bout de ma baguette en braise, je la fait lentement glisser le long de l'ouverture du bras de Roméo tout en le lui tenant toujours fermement. Si il croit qu'il sait ce que c'est que d'avoir mal alors c'est qu'il n'a pas gouter a la véritable douleur, et c'est justement mon objectif, le faire souffrir. Pourquoi ? Juste pour le plaisir.

" Tu sais Roméo, il n'y a pas que les filles dans la vie."

Ma phrase porte un sens cacher, le sait-il ? En tout cas, j'espère que mon sourire fou lui fait peur. Car ce que je lui réserve, rare sont ceux qui l'apprécierait.

" Alors la tu reve."

Si Roméo pense qu'un ton glacial et autoritaire fonctionne avec moi il se met le doigts d'en l'œil, je n'obéis a personne et je ne fais confiance a personne. Tout ce que je fais avec les autres c'est leur faire du mal juste par simple plaisir. De plus si il croit que je n'ai pas remarquer que le griffondor tente d'utilisé sa magie pour se libérer c'est qu'il me prend vraiment pour un débile. Je baigne dans la magie depuis tout petit, je sais et je sens quand quelqu'un l'utilise. C'est un genre de don, je ne sais pas si les autres sorciers on cette perception de la magie mais en tout cas moi je l'ai et on peux dire que c'est temps mieux. J'attrape Roméo par le cou et le soulève un petit peu.

"Si tu crois que tu va réussir a briser mon sort c'est que tu ne sais pas a qui tu as a faire."

En plus j'avais une bien meilleur idée. Il y a à peine quelque minute le beau, le romantique, le désespéré griffondor voulait ce jeter du haut de la tour non ? Alors je vais l'y aider et à ma manière. O j'aime faire du mal a ce pauvre Roméo, c'est si simple et s'en est presque jouissif, je l'ai toujours détester depuis la première fois que je l'ai vu dans le poudlard express je savais déjà quel personne il était. Un garçon qui se fait facilement des amis, un garçon avec de l'honneur et un amour profond pour toute chose, un parfait griffondor, un Harry Potter Bis. Quel nullité. Je pointe ma baguette dans sa direction et la lève vers le haut tout en murmurant.

" Levicorpus."

A cette instant je lâche le cou de ma proie, le corps de Roméo se retrouve ainsi suspendu par les chevilles dans les airs, grâce a ma baguette je peux l'emmener ou je veux, que c'est pratique. Je dirige ma baguette vers l'extérieur de la tour et c'est maintenant dans le vide qu'il pendouille.
Je m'assois au bord de la tour, la ou se tenait Roméo avant que je ne l'empêche de ce tuer.

" Si tu veux que je te relâche, on peux faire un deal toi et moi."

hors jeu : évite quand même de me tuer, je veux vivre !! XD

Grillé, je ne suis pas assez doué visiblement, comment à –t-il pu savoir ? Quel genre d’Homme est-il ? Il aurait fais un très bon mangemort. Une minute, et si... Non. Je ne vais pas commencer à dire n’importe quoi. J’ai juste le temps de l’entendre prononcer un Levicorpus que je me retrouve suspendu par les chevilles dans le vide. Entre vie et mort. De quoi ai-je l’air maintenant ? D’un idiot ! Quel imbécile ! Moi qui tout a l’heure voulais ma tuer a présent je n’ai qu’une envie qu’il me ramène sur la terre ferme. Puis je ne veux pas mourir sans avoir vu une dernière fois le visage de Toya. Oui s’est vrai tout a l’heure j’ai dis n’importe quoi. J’aimais Bella, mais à présent j’ai Toya dans ma vie. Et s’il me dit encore une fois qu’il n’y a pas que les filles dans la vie dès que je serais à nouveau maitre de mes mouvements je lui botte le c*l .Un deal. Qu’allait-il encore me faire subir ? Est-ce que je sortirai vivant de se cauchemar ? Au secours sortez moi de la !

- D’accord sa marche maintenant ramène moi en douceur. S’il te plait.

J’avais un peu de mal à parler étant donné que j’étais dans le mauvais sens et que le sang me montait au cerveau. Je n’avais qu’une envie, qu’il me dépose sans geste brusques.

Finalement, Roméo n'en valait pas la peine que je m'attarde sur son cas. Il ne ferai même pas un bonne esclave, je trouve qu'il n'est bon a rien sauf peut être à être pathétique. D'un mouvement de ma baguette je lance le pauvre Griffy sur le mur de la tour d'astronomie. Au moins il n'est plus en suspension dans le vide. Je l'observe quelque instant, je le trouve vraiment minable, vraiment pas de quoi m'attarder, j'ai surement mieux a faire dans ma chambre, dans ma tour. Ou pas.
Mais bon je trouverai bien un endroit ou quelqu'un avec qui m'amuser.

" Si nos chemins se recroise Roméo, je te jure que tu ne t'en sortira pas a si bon compte."

Après cette ultime menace, je me jette du haut de la tour. Je chute pendant quelque instant avant d'exécuter un transplanage. Je me retrouve immédiatement dans mon lit dans la maison des serdaigles, je soupire car je me suis ennuyait comme pas possible avec ce griffondor. Sur ma table de chevet un livre de magie noir est encore ouvert, je le reprend et me remet a lire le chapitre torture et magie noir tout en m'allumant une cigarette.