lorsqu'il faut lutter pour ne pas subir. [pv Ciaran)

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Diana avait tout pour être heureuse : un physique qui plaisait bien, surtout chez la gente masculine, beaucoup d'argent (elle n'en manquait jamais. Avoir des parents sang-pur ça n'avait que des avantages) et un père qui l'avait initié depuis longtemps à la puissance de la magie noire. Et pour couronner le tout elle était dans la seule maison qui méritait d'être... Enfin bref, la jeune serpentard aurait pu se faire n'importe quelle conquête, n'importe quel ami... du moins si elle n'avait pas été aussi difficile. Ce n'était pas une simple question de physique car elle s'en fichait ou plutôt elle le reléguait au second plan, faisant attention à des détails beaucoup plus importants qu'elle avait affiché dans une liste. Ainsi on pouvait voir écrit sur un morceau de papier près de son lit :

Spoiler:

Ainsi étaient ses dix commandement et encore ceci n'est qu'un extrait le reste étant moins important, le nombre de règles étant fixés à une centaine, si vous les voulez n'hésitez pas à lui en faire part. Bien bref, parler de ses règles (ne le prenez pas mal, à ma connaissance il n'y a aucun jeu de mot) n'était pas son but de la soirée. En ce moment une seule envie la tiraillait aller explorer la forêt interdite. Les lois, à part les siennes elle s'en fichait royalement. Les gryffondors étaient devenus si pathétiques qu'elle s'était mise à chercher d'autre moyen pour s'amuser et violer le règlement c'était excitant. Montant rapidement les marches qui lui restait à parcourir elle sortit dehors. Un brise glacée lui chatouilla le visage. Si elle avait su sans doute se serait-elle vêtue plus chaleureusement mais si elle voulait une chance de gagner la forêt sans être vue elle devait y aller maintenant. Alors elle traversa le parc, ses pas l'emmenant toujours plus loin enfin la forêt fut en vue. Entre temps la nuit avait succédé au jour, la lune volant la couronne au soleil. Des frissons le parcourut. N'était-ce pas idiot de s'aventurer plus loin, de jouer comme sa avec sa vie ? N'était-ce pas idiot d'y aller le soir ? Oui mais elle n'avait plus le choix. Elle était lancée, elle continuerai à marcher, à avancer, jamais elle n'avouerait sa peur parce qu'elle était sang pur, parce qu'elle était Diana. Elle franchit la frontière. Comme si il y en avait une dans cette forêt... Aux alentours tout était si grotesque que l'on se demandait quand elle commençait... et quand elle finira... Mais la jeune fille continua, avancement lentement un pied puis un autre. Un silence tranquille, elle s'autorisa à penser qu'il n'y avait plus rien de dangereux dans les environs. Mais elle avait tort. Une branche craqua, elle étouffa un cri apeuré avant de voir un oiseau voletait près d'elle. Furieuse de s'être laissée distraire elle lui donna un coup de pied magistral, sans demander son reste ce dernier partit, clopinant. Diana continua à avancer. Le silence se faisant plus paisant, plus lourd. Elle se retourna, prête à partir, à faire demi-tour, elle n'en pouvait plus déjà. Quand...

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Violer le règlement, tel était le quotidien de Ciaran Lullaby. Il
n'avait jamais respecter aucune loi mise a part la sienne, il ne
s'était jamais fait dicter sa conduite et ce n'est pas a ce jour que
cela aller commencer. Les élèves de Poudlard sont de grand prétentieux,
surtout ses serpentards qui croient savoir ce qu'est le mal. Mais
l'ont-ils déjà vu seulement une fois dans leur vie ?
Le jeune serdaigle ne dormait presque jamais la nuit. Quand les
ténèbres prenaient la place de la lumière il se sentait plus libre,
s'est sans ce faire prendre qu'il explore presque tout les soirs le château et ses environs. Aujourd'hui Ciaran avait décidé de retourner dans
la foret interdite. Pourquoi était-elle interdite ? Sans doute parce
que ses sorciers de pacotilles n'avaient pas assez de couilles pour
voir ce qu'elle renfermer réellement. Ou peut-être y avait-il
réellement un danger. Enfin, on verra cela en temps et en heure.
Il faisait légèrement froid se soir, pourtant le jeune homme ne portait
guère plus qu'un t-shirt noir et un jean tout aussi noir. Étrangement,
il aimait trop cette couleur. Cela faisait quelque minute déjà qu'il
était tranquillement installer sur une branche d'arbre dans la foret
interdite, il y fumer tranquillement, observant a la fois le clair de
lune et l'obscurité abyssale de la foret. Il n'y avait presque aucun
bruit, si ce n'est les petits bruits animalier caractéristique d'une
foret. De son perchoir, le jeune Ciaran vit arriver une jeune femme,
elle avançait d'un pas déterminer vers la foret interdite. Le Serdaigle
avait une bonne vue, et il remarqua le vert de sa robe, même dans
l'obscurité. Alors comme cela une serpentard voulait se prouver quelque
chose en allant dans la foret interdite. Il fit un pari avec lui même,
il pariait que la fille n'allait pas savoir rester deux minutes dans la
foret. Quand enfin elle passa la frontière entre l'école et la foret,
Ciaran se mit a compter.
Pendant ce temps la, la jeune femme sursauta a cause d'une branche
d'arbre, elle vit le responsable et donna un bon coup de pied dans
l'oiseau puis elle tourna les talons et s'en allant, comme il l'avait pariait, elle n'avait pas tenu deux minute. Le corbeau de
Ciaran, car le jeune homme avait recueillit un jeune corbeau qu'il
laissait en liberté dans la foret mais l'animal venait souvent le
voir, se posa sur son épaule et croisa de son cri funeste. Un petit
rayon de lune éclaira le Serdaigle juste au moment ou il ouvrit la
bouche.

" Peureuse."

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La caresse du vent se faisait de plus en plus glaciales sur son corps trop peu vêtu. Même les arbres ne réussissaient à réchauffer l'air ambiant, alors Diana frissonna à nouveau. Qu'elle détestait le froid et pourtant on ne pouvait pas dire que le cachot où résidait sa salle commune était un endroit chaud. Vaincue par cette température, elle fit demi-tour. Toutefois, ce n'était pas la raison principale qui la poussait à agir de la sorte. Avec le croassement de l'oiseau la peur avait resserré son emprise sur son cœur, le lui arrachant, quadruplant son débit, l'étranglant. Qu'est-ce qu'elle souhaitait que ça s'arrête! A présent Diana avait accéléré la cadence. Son but ? Engloutir la distance restante entre elle et son salut le plus vite possible. La seule chose qui la retenait de courir étant sa crainte d'être vue, peur toujours plus profonde que toutes les autres réunies. Lorsqu'on descendait d'une famille de serpentard sang-pur on avait une image à défendre. Lorsque quelqu'un lui parla. Oui, elle était certaine que l'on s'adressait à elle. La jeune femme se retourna vivement, juste à temps pour voir les mots sortir de la bouche d'une silhouette éloignée : peureuse. L'insulte traversa les arbres allant directement jusqu'à elle. Peureuse. Non elle ne l'était pas. Elle ne pouvait s'avouer vaincue si vite. Et pourtant elle répugnait de s'avancer à nouveau sous ces arbres, dans cet endroit si dangereux. Peureuse. Ce mot avait le mérite de détruire toutes ses peurs. Peureuse. Elle marcha dans le sens inverse, retournant d'où elle venait. Lentement elle s'approchait de l'homme qui lui avait parlé. Alors elle s'arrêta, sursautant. Qui était-il ? Ainsi vêtu de noir on aurait dit un gothique ou un homme tout droit sortit de film d'horreur, le regard si déterminé que face à lui elle se sentait ridicule. Qui était-il ? Était-il à Poudlard ? Elle le détailla. Elle n'en avait aucune idée mais en tout cas ce n'était pas un serpentard. Sans doute était-il simplement un moins que rien... quoiqu'il en pouvait pas être un gryffondor. Mais ça lui suffit pour reprendre des couleurs. Elle n'avait rien à craindre de cet homme, aussi apeurante que puisse être son apparence physique il restait un "autre".

- Qui es-tu pour oser m'adresser la parole ? Qui es-tu pour m'insulter ?

Ses paroles prononcées la mirent encore plus à l'aise. Elle alla même jusqu'à oublier la froideur de la soirée. Mise au défi elle était prête à tout, capable de montrer qui elle était ne craignant plus que faire insulte à son nom. Peureuse ? Oui elle l'était à l'origine mais elle était également combative. De son plein grès elle ne laisserai jamais quelqu'un d'autre avoir le dernier mot. Qui que ça soit. Lorsque le corbeau croissa de nouveau. Elle tourna les yeux et le vit près de l'autre. Qui était-il pour avoir comme ami cet animal funeste ? Ce n'était pas bon ça, dangereux, trop dangereux mmais elle ne pouvait partir, même si à nouveau elle le souhaitait d etoutes ses forces elel resterait là jusqu'à ce qu'il se soit excuser.

- J'attends tes excuses.

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Les serpentards, ils se croient toujours au dessus des autres mais pourtant ce ne sont rien de moins que des vantards. J'ai vu la peur de cette fille quand elle est entré dans la foret interdite et je vois cette même peur toujours présente toute autour d'elle comme si elle lui aurai fait une aura. Avant de descendre de mon arbre je m'allume une cigarette et regarde mon corbeau qui s'envole en croissant dans la nuit noir. Ensuite je saute de mon arbre et artérite comme un chat sans me blesser bien que j'étais percher a plus de trois mètres de haut. Je ne niais pas que j'ai utiliser la magie pour ne pas me blesser mais qu'importe. Dans l'obscurité de la foret je ne suis qu'une masse sombre et noir, tout ce que l'on voit de moi n'est que ma peau blafarde aussi blanche que celle d'un mort mais pourtant je suis bien en vie. Je me dirige d'un pas lent vers la jeune serpentard, tirant une nouvelle bouffé de ma cigarette, arriver devant elle je ne vois pas d'autre façon de l'énervé que de lui recracher la fumée a la figure.

" Pour tes excuses tu peux te les mettres ou je penses et qui je suis pour t'adresser la parole ?"

Je laisse échapper de mes lèvres un petit rire, vraiment ses serpentards se croient vraiment au dessus de tout, je vais la faire déchanter la demoiselle moi. La couleur violette de mes yeux la fixe et l'évalue. C'est une sang pur, une des autres raison pour lesquels elle se croit supérieur, elle a un potentiel magique assez bon un peu comme tout ce des élevés que j'ai croiser a Poudlard, rien de bien extraordinaire.

" Mon nom est Ciaran, Ciaran Lullaby et je suis de la maison des Serdaigles.Hé oui, j'ose te parler minable petite serpentard froussarde."

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Wow ! Comment a-t-il fait ça ? Ce jeune homme est peut-être un crétin doublé d'un idiot mais fallait avouer qu'il avait une certaine class. Sauter comme ça à plus de trois mètres et atterrir l'air de rien bien droit sur ses deux jambes, wow. Mais Diana avait autre chose à admirer que la félinité de son adversaire et puis à vrai dire ça ne l'intéressait pas, jamais elle n'avouerait qu'il était doué en quoi que ce fut. Elle lui avait donné mentalement une étiquette il la garderait quoiqu'il fit. La jeune fille regrouperait son courage pour lui montrer le vrai visage des serpentards quitte à ne pas sortir indemne d'ici du moment qu'elle conservait sa fierté. Alors il lui tira une bouffée en plein visage. Pour qui se prenait-il à l'intoxiquer avec des objets moldus ? Elle lutta pour ne pas tousser et finit par ne laisser apparaître qu'une grimace de dégoût. Décidant de réagir et de ne pas subir elle laissa échapper un mince crachat. Vachement peu distinguée pour une fille mais que faire d'autre ? A mains nues elle se ferait battre, si elle choisissait de la battre avec de la magie elle savait qu'elle s'en tirerait moins bien que son adversaire alors elle devait prier pour que s'ensuive qu'une simple bataille de mots. Au moins aurait-elle peut-être sa chance, et encore.... Il semblait plein de reparti. N'avait-il donc aucune faiblesse ? Face à de tels adversaires comment lutter ? La serpentard avait été habitué à des batailles de clan ou même à simplement embêter les nés moldus mais face à ce duel c'était de la rigolade. A présent elle avait complètement oublié sa peur, était-elle partie à jamais ? Elle ne le saurai sans doute jamais mais poussée par la colère elle l'avait momentanément oublié.

Le serdaigle se présenta. Ciaran Lullaby. Elle n'en avait jamais entendu parler, en même temps il y avait tellement d'élèves à Poudlard que cela n'était guère très étonnant.Alors je remarquai la couleur de ses yeux. Violets, voilà qui était peu courant ce qui l'agaçait encore plus. Cet homme sortait tellement de l'ordinaire... Qui était-elle à côté ? Avait-elle réellement pensé cela une seconde ? Elle se serait donnée des claques. Elle valait mieux que cet être qui n'était même pas à serpentard,que cet être qui ne devait même pas être sang-pur. Qui était -elle ?... Minable petite froussarde ? Ne s'arrêterait-il donc jamais ? N'en avait-il pas assez de jouer avec son honneur ? Cela en fut trop pour la verte, elle devait le faire taire avant qu'elle ne doute d'elle-même. Alors elle sortit sa baguette et prononça le seul sortilège qui lui franchissait les lèvres sans qu'elel n'eut besoin de l'articuler.

- Endoloris.

Qu'elle rêvait de le voir se tordre de douleur sur le sol, la supplier de cesser ce tourment, les larmes aux yeux... mais... Mais elle n'y croyait pas...

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Le sortilège Doloris ? Qu'a cela ne tienne, je l'encaisse et je fais en sorte que mon visage n'exprime aucune douleurs. Ne croyait pas que je suis insensible au sortilège de souffrance, c'est juste que j'arrive a parfaitement cacher mes sentiments et donc ce que j'éprouve. En clair nul grimace de douleur ne fut offert a Diana la serpentard, juste un visage blanc et frigide, le mien. Tout a coup je me met a sourire et je décide de lui faire quand même une fleur.

"Aie. C'est ce que tu voulais entendre ?"

Je pars dans un petit éclat de rire, un tout petit car le sort m'a quand même bien fait mal et je ne peux donc pas éclater de rire comme le dernier des cinglés. D'un coup, je sors ma baguette magique.

"Dit moi.. J'espère que tu aime les oiseaux."

En informulé, je lance le sortilège Avis, qui fait apparaitre une dizaine de corbeau aussi noir que la nuit régnant en cette instant puis pointant ma baguette sur ma cible qui est Diana bien évidement je lance le sort qui fait attaquer mes corbeaux, le sortilège d'Oppugno. Mes jolies corbeaux se lancent dans leurs croisements funeste sur Diana deux d'entre eux saisissent les cheveux de ma victime grâce a leur serres et les tires avec vigueurs pendant qu'un autre se pose sur son épaule pour lui picorer la chair alors que les autres la fait tomber au sol. Une fois mon ennemi a terre, je renvoie mes corbeau et m'avance près de la jeune serpentard m'agenouillant alors qu'elle est allonger par terre ma baguette sur sa gorge comme si c'était un couteau bien aiguisé.

" Je me demande quel genre de sort je pourrai utiliser pour te punir d'avoir utiliser ce vilain Doloris.... Peut être un Sectumsempra ? Quand dit tu ? Ou alors j'invoque un Feudeymon pour te poursuivre jusqu'à ce qu'il de dévore... Ou te brule je ne sais pas comment ce sort opère exactement."

Invité

Comment ? Ciaran n'était pas humain... Il ne pouvait pas... C'était le premier à ne pas souffrir du sortilège du doloris, cela n'avait fait que l'énerver... Pourquoi donc l'avoir défier si il n'existait aucun moyen de le battre ? Parce qu'il avait joué avec son honneur, et Diana avait réagi au quart de tour, trop vite trop précipitamment... Puis une fausse onomatopée de souffrance suivie d'un rire certain. Non seulement il semblait ignorer la souffrance mais en plus elle le faisait rire... D'où sortait ce type ? L'étonnement pouvait se lire sur le visage de Diana mais ni l'inquiétude ni même la peur, elle devait prouver la puissance des sangs purs de serpentard. Une nouvelle phrase énigmatique, les oiseaux... Bien qu'elle ne soit pas blonde et qu'elle eut vite compris de quoi il allait s'agir elle n'eut guère le temps de se défendre que déjà une dizaine de corbeaux se lançaient sur la jeune fille. Elle réussit à en tuer cinq mais très vite leur nombre eut raison d'elle. Deux lui saisirent les cheveux alors elle se débattit, focalisant, à tord, son attention sur eux, elle les mis hors d'état de nuire assez rapidement, mais trop lentement pour empêcher l'un d'entre eux de lui retirer à coups de bec énergiques la chaire de son épaule... La douleur était telle qu'elle ne put résister à la nouvelle vague qui la fit tomber à terre. Elle perdait du sang, sans doute trop et maintenant non seulement devait-elle lutter contre les attaques mais également contre ses expressions. Si jamais elle laissait apparaître le moindre signe de faiblesse alors son adversaire se délecterait. Elle devait lutter alors elle réprima les larmes ce fut d'autant plus facile qu'il congédia ses maudits corbeaux. Pourquoi ses oiseaux et non pas d'autres ? La question ne se posait même pas, Ciaran leur ressemblait tellement... Elle voulut le blesser à nouveau, sortir un sort bien cruel mais déjà il était prés d'elle, une baguette sous son menton. Etait-elle à sa merci ? Pouvait-elle encore espérer reprendre ou prendre tout simplement l'avantage ? Elle l'espérait, au moindre faux pas de ce serdaigle elle bondirait. Et puis il lui était impossible de concevoir une défaite. En attendant elle devait prendre son temps, plus ils discutailleraient plus il y aura de chance que son adversaire commette un faux pas et plus elle aurait de chance de rester en vie... Mourir... Nul doute qu'il était prêt à tuer, tout était négatif chez lui...

- Me punir ? Ce n'est pas moi qui t'ai insulté le serdaigle, tu te serais tu je n'aurai jamais rien fait contre toi. Mais je ne t'en veux pas de tenir ses propos après tout l'erreur et l'oubli sont deux choses propres à l'homme.

L'erreur est humaine certes, mais Ciaran lui-même l'était-il ? Bonne question qui méritait réflexions... Quoique plutôt un autre jour là elle n'avait pas le temps de s'interroger dessus... Puis il invoqua les sorts qu'ils connaissaient pour la faire souffrir... voir la tuer... Quoi qu'il en soit s'il les utilisait Diana se promit que cette nuit il y aurait deux morts. Alors elle se mit à rire d'un rire presque dément, se soulageant de ses douleurs et de son épuisement, de sa peur de la mort et de la peur d'insulter sa maison. La situation la faisait rire et pourtant il n'y avait rien de comique là-dedans.

- Si il s'agit là de ce que tu veux je t'en prie. Je n'ai ni peur de toi ni peur de la mort car si je meurs aujourd'hui crois moi je ne serai pas seule.

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