Au bord de l'envie je ressend le doute l'espoir à chaque instant ... [pv Toya]

Je preferais ne pas continuer cette discussion douloureuse sur les couples. Inutile de faire d'avantage soufrir Roméo. Déjà qu'il vivait l'enfer avec les moqueries des autres, et de la douleur que lui causait le rejets de Bella. Après tout, je n'étais quand même pas là pour remuer le couteau dans la plaie. Bien que je risquais de le faire ne lui annonçant son secret. Je reflechissait à différente façon e la ire avec tact. Mais Roméo posa enfin la question fatidique. et je devais lui répondre dans peu de temps, sinon il se poserais des questions. Je pris une grande inspiration et ma lancer :

- Oui, mon étât. Je... Je...

Je n'arrivais pas à lui dire. Ce n'était pas complqiué pourtant. Je suis enceinte. Trois mots. Quatre syllabe. Quatorze lettres. Et tellement de vérité dedans.

- Je suis enceinte. De Taylor.

Et voila, c'était dit. J'avais dit cela d'n ton blazé, sans emotion. Tout d'un coup bam, à la figure de Roméo. Comment allait-il réagir? Je ne voulais pas le faire souffrir. Je lui avait dit tout ceux que j'avais dire. Mais cela me faisait de la peine. Et je me mit à pleurer. Les émotions de quelqu'un d'enceinte sont plus forte que la normale. C'est pour ça que je pleurais pour rien. Mais je n'aimais pas cela. Pour moi, pleurer pour un oui ou por un nom, c'était de la manipulation. Mais je n'y pouvais rien. Honteude, je sechais mes larmes, et levait la tête pour regarder Roméo, ayant peur de l'expression que j'allais voir sur son visage.

hj : désolé pas terible

Il ne fallait pas que je me remette à pleurer. J'étais avec Roméo et tout aller bien se passer. Voila ce que j'essayais de me faire croire. Je retais silencieuse. Quelque chose au fond de ma gorge m'empêchais de prendre la parole. Je n'arrivais pas... C'était trop dur. Mais quelque chose me réconfortait quand même. Lorsque j'avais dit tout ça à William, j'avais pleurée comme une madeleine. Là, la situation s'était un peu amméliorée. Peut-être était-ce parceque j'étais avec Roméo. Depuis quelques jours, je m'étais rendu compte que j'étais amoureuse de lui. Oui. C'était la véritée. Je l'avais invitée au bal et... et quand je me pensais pas à la chose dans mon ventre, je pensais à lui. Seulement lui. Ce que je voulais? Elever mon enfant avec lui. Je savais que j'étais un peu jeune pour prendre de telles déscisions mais ma mésaventure m'avait vieillie. Il me demanda comment cela était arrivé puis il s'excusa de sa question. Je ne lui en voulait pas le moins du monde. Il me prit dans ses bras et me dit que tout allait bien. Oui, tout allait bien quand j'étais dans ses bras. Je sentais son odeur délicieuse et... j'étais heureuse, j'oubliai tout. Je pris la parole pour tout lui avouer:

-Je sais que tu es là Roméo. J'ai quelque chose à te dire... Ecoute, jm'en fout de Taylor. A présent, c'est mon bébé et pas le sien. Maintenant, c'est de toi que je suis amoureuse Roméo. Je t'aime...

Je l'avais dit. Je voulais me deserrer pour voir son expression mais j'avais peur qu'ensuite il ne me reprenne pas dans ses bras. Je mettais ma tête contre son coeur, et l'entendait battre...

J'attendais. Comment allait-réagir l'élu de mon coeur? Me repousserait-il? Ou, partagerait-il les mêmes sentiments que moi? Mon coeur battait à deux fois de plus que la vitesse normale. Puis, je me desserai de son entreinte pour voir son visage. Il avait vraiment des traits d'ange à mon gout. Puis, il prit la parole et me dit qu'il avait également quelque chose à me dire... Après sa deuxième phrase, je ne put m'enmpêcher de laisser couler une larme. Je n'avais jamais entendu quelque chose de plus gentil que ce qu'il venait de me dire. Puis, il s'avança vers moi et déposa un baiser sur mes lèvres. Il eut l'effet d'une bombe pour moi. Je le lui rendis avec autant de délicatesse. Ne pensant qu'à une chose, le contacte de nos lèvres l'une contre l'autre. Mais les larmes continuaient à couler sur mes joues. Je ne savais pas vraiment pourquoi puisque la chose je désirais le plus au monde, je l'avais: Roméo. Mon Roméo. A moi. Je voulais continuer à l'embrasser jusqu'à la fin de ma vie mais je voulais également voir ses yeux. Les plus beaux de tous. Je rompis notre baiser et pris son visage dans mes mains, ne sachant quoi dire. J'éprouvais pour lui des sentiments que je n'éprouvais pour personne d'autre.

-Ooh Roméo... Je...

Je me tus. Il valait mieux du silence. Je le regardai, sachant que je pourrais l'observer ainsi jusqu'à la fin de mes jours...

Je sentais les larmes de Toya se poser contre mes joues. Elle me prit le visage entre les mains, ses mains étaient si douces. Ses yeux étaient si beaux que ‘j’aurais pu y resté plongée dedans pour l’éternité. Je séchais ses larmes.

- Tout va aller pour le mieux Toya, je suis là.

Je serais la à ses cotés pour l’éternité. Malgré la peur de se brûler les ailes. Malgré la peur de retomber du ciel. Je Te Serai Fidèle. Rien ne pourra plus jamais nous séparer tant que je serais là. Tant que je serais vivant personne ne pourra te faire du mal. Je te promets de veillé sur toi à chaque instant de ma vie. Chaque souffle chaque battement de cœur il sera pour toi.

- Je t’aime Toya, plus que tout au monde. Je te promets de ne jamais te faire de mal et d’être toujours la pour toi.

Je voulais qu’elle sache à quel point elle comptait pour moi, elle comptait plus que ma propre vie.

hj : dsl C'est un peu court

J'avais arrêté de pleurer. Cela n'avait pas d'interret. A présent, j'étais avec la personne que j'aimais le plus au monde alors pourquoi être triste? Parce que j'avais un bébé de quelqu'un que je n'aime pas de le ventre? Parce que je préfèrerais que ce bébé soit de Romé? Non, rien ne pouvais m'enlever ce sentiments de bonheur, enfuit au plus profond de moi. Rien ni personne.Je continuais à caresser son visage magnifique. Sa peau avait une douceur surnaturelle et j'avais envie d'embrasser chaque recoins de ce visage parfait. Je ne pourrais me passer de lui à présent. Jamais. Je gardais une main sur son visage mais l'autre descendait pour trouver sa main. Elle la trouva rapidement et je la serrait contre moi. Sur mon ventre. Monbébé était celui de Roméo. Pas celui d'une autre. Je pris la parole d'une voix douce.

-Roméo. Je t'aime comme jamais je n'ai aimé personne. Tu es la personne à laquelle je tiens le plus au monde au monde. Je m'en rends compte. Ooh Roméo, que ferais-je sans toi?

Je m'approchaide lui et déposai un nouveaux baiser sur ses lèvres. Pas le même que le présédent. Un baiser plus fort mais aussi plus doux. Un baiser, grand comme mon coeur.

hj: pareil :s

Nous étions enlaçés, l'un contre l'autre. Puis, Roméo se détacha et se retourna quelques instants. Je me demandais ce qu'il faisait. Mais j'attendais, fermais les yeux et essayais de repenser à nos premiers baisers. C'était super, j'étais folle amoureuse de lui. Puis, mon Roméo se retourna. Il portait une bague dans la main, il s'approcha de moi et me dis qu'il voulait que je la porte. Je le regardais, il avait l'air très sérieux. La bague était magnifique. Elle avait un petit diament. La plus belle de toutes les bagues au monde. Il me la tendis. Je la prs dans ma main, ayant du mal à retenir mes larmes. Je le passais à mon doigt, pris le visage de Roméo dans mes mains et embrassa sa joue, son front et pour finir, ses lèvres. Je regardais ensuite cette bague, elle était vraiment superbe. Une larme s'echappa de mes yeux et coula sur ma joue. Malgré la boule dans ma gorge je réussis à lui dire:

-Merci mon chéri. Elle est magnifique.

Je finissais le dernier mot lorsqu'une grosse douleur me frappa le ventre. Je tombais en arrière en gémissant. Je savais ce que cela voulait dire. Mon robe commençait déjà à se mouiller. Je perdais les eaux. Le bébé arrivait... Je me tordait de douleur sur le sol. J'essayais de lever les yeux vers Roméo mais je n'y arrvais pas. Le bebe me donnait d'affreux coups dans le ventre, c'était insupportable. Horrible.

La sensation n'était pas uper. Je ne voyais plus grand chose car des ombres noires cachaient mes yeux. Ca y est, mon enfant allait arriver. Ma petite fille. A moi et à Roméo. Mais je ne me sentait pas bien malgré mon envie de la prendre dans mes bras pour la première fois. Je ne voulais qu'une seule chose, que Roméo reste avec moi. Pour l'éternité. Mais, quelques instants plus tard, en utilisant un maximum de forçes, je relevai la tête et me rendis compte qu'il n'était plus là. Il était partié. Je recommençai à gémir de plus belle. C'était horrible. J'avais l'impression d'être abandonnée. Mais Roméo revint. Il avait apporté de l'eau et une serviette. Je lui pris la main et la serrait très fort dans la mienne. A présent j'avais peur. Roméo me demanda si j'allais bien. J'essayais d'ouvrir les yeux pour lui répondre. Je voulais l'embrasser mais je n'y arrivait pas. J'étais bloquée et je sentais que cela bougeait dans mon ventre. Elle arrivait. Je dis d'une voix très faible.

-Elle arrive Roméo. Elle arrive... Approche toi de moi, par pitié.

Les accouchement n'était normalement pas si compliqué, mais le fait de la surprise n'arrangeait rien. Et puis, il n'y avait personne à part Roméo et moi dans cette pièce. Mais jesavais que nous allions réussir. Enfin... j'espèrais...

P

Toya n’avait pas l’air bien puis le bébé arrivait. Allez courage. Je peux très bien m’improviser médecin il suffit juste de ne pas faire d’erreur. Galère, galère, galère. Pas de panique. Facile à dire. Je tiens la main de Toya elle en a besoin.

- Respire doucement.

Je ne savais pas exactement ce que je faisais mais il fallait bien tenter. Je mis ma veste la ou le bébé été censé sortir au moins on aurait quelque chose à lui mettre sur le dos le temps qu’on aille à l’infirmerie. Je n’en revenais pas j’allais être papa. Un peu prématurément je dois l’avouer mais ça me faisait tout drôle. Jamais j’aurais penser qu’un jour je deviendrai papa même si l’enfant n’étais pas de moi je le considèrerais comme le mien bien que le vrai père soit une personne que je ne supporte pas.


- Si tu sens que les contractions s’accélèrent tu pousse.

Comment je savais tous ça ? Je ne sais pas mais finalement peut être que je ferais un bon médecin.

J'allais un tout petit peu mieux qu'il y a quelques minutes. Malgré les contraction qui allaient de plus en plus forts, je sentais Roméo à mes côtés. Il était là et il ne me laissera jamais seule. Toute seule. Je sentis qu'il posait quelques choses prêt de mon bassin. Il pensait au bébé. Je lui laissais un regard pleins de trendresse. J'enlevais ma robe bleue. Il fallait bien le faire si je voulais que le bébé arrive. Dans quelques minutes, je pourrais la tenir dans mes bras! Ca y est, il fallait que je pousse, c'était le moment. Je fis ce que Roméo me demanda de faire. Ca fesait mal mais je le faisais pour lui. Je tenais sa main dans la mienne, essayant de ne pas serrer trop fort. Je sentais que quelques choses commençai à sortir. Je dis d'une voix le mons étranglée possible:

-Ca y est, je la sens. Que dois-je faire là Roméo?! Dis moi mon coeur! Je dois faire quoi?

J'essayais le plus possible de garder mon sang-froid. Au fon de moi, j'étais heureuse d'accoucher maintenant. Seule avec Roméo. Mon Roméo. Celui que j'amais le plus au monde. Sans lui, je me sentais perdue, complètement seule au monde. Je lui serrais la main encore plus fort. Entre mon jambe, la tête de mon enfant était déjà sortie...

hj; on joue Ayden en pnj jusqu'à ce que quelqu'un le prenne

Pousser, pousser, pousser, pousser, je ne faisais que ça de pousser. Je sentais Roméo et je savais que le bébé était sur le point de sortir et de tomber dans ses bras. J'y mettais toute ma forçe et toute ma volonté. Cel faisais affreusement mal mais je continuait, pour Ayden, pour Roméo, et pour moi. Ca y est, tout était terminé, je ne sentais presque plus rien. Un énorme poids venait de se soulever de mes épaules. Roméo coupa le cordon ombilicale et s'approcha de moi, un magnifique bébé dans les bras. Je ne pus me retenir plus longtemps. Une larme coula sur ma joue. Les deux personne que j'aimais le plus au monde devant moi, Roméo, l'amour de ma vie et Ayden, ma petite fille. Roméo me donna la petite en souriant, je la pris dans mes bras, n'ayant d'yeux que pour elle. Mais de l'autre main, je tenais celle de Roméo et je la serrait fort fort fort. La petite était vraiment miniscule et pesait le poids d'une plume. Je la berçais doucement. C'était le plus beau bébé du monde. Tout se bousculait dans mon esprit, il fallait lui donner à mange ret s'occuper d'elle.... Je ne savais rien faire; je pris la parole tout doucemement pour ne pas déranger la petite:

-Roméo, il faut que nous allions à l'infirmerie. Et après, je partirais de Poudlard, j'en sais assez pour vivre. Je vais m'occuper d'un magasin, peut-être que Maëlle aura besoin d'aide pour les Trois Balais, il faut que je m'en aille, je ne peux pas élever un enfant ici. Choisis ta voix, tu sais que je te voudrais avec moi pour l'éternité. Mais ne fout pas en l'air tes études pour moi! Si tout veux, on se donnera rendez-vous à Prés-Aux-Lard a chaque sortie. Et puis, l'orsque l'année se finira, tu viendras vivre avec moi dans une petite maison du village. Une maison m'appartiens déjà là-bas. Enfin, fais comme tu veux. Tu sais comme j'aimerais que tu viennes avec moi.

Je me levais doucement, encore fragile avec la petite dans les bras. Puis, j'embrassais le june homme dont j'étais amoureuse, Ayden entre nous. Je lui donnais la petite, pour qu'il la porte. Roméo était son père. Le père de Ayden Blaze.

partir de poudlard ... je comprenais qu'elle veuille partir mais sa me faisais de la peine. Je ne la verrais plus pendant les cours et j'avais tellement besoin d'elle mais il y avait Ayden et je comprenais qu'elle veuille s'en occupé. Je voulais la suivre mais si je voulais pouvoir assurer un avenir à notre famille alors il fallait que je continue mes études et que je trouve un bon métier et je pense que j'avais trouver ce que voulais faire Sauver des vies ...
Pour l'instant il fallait qu'on aille à l'infirmerie. Ensuite je devrais accepter que Toya quitte Poudlard sa aller être plus difficile.

- Je meurs d'envie de te suivre mais si on veut assurer un bon avenir à Ayden tu as raison il vaut mieux que je continu mes études pour trouver un métier qui me plait.

hj: dsl c'est un peu court

EDIT de Blade : Attention Roméo, ce n'est pas parce que t'es modo que tu as le droit d'échapper aux 10 lignes obligatoires

La petite s'était déjà endormie dans les bras de son papa. Il fallait vite aller à l'infirmerie. Puis, Roméo me répondit. Je lui sourit. Au fond de moi, j'étais très triste mais je savais que si je voulais fonder une famille stable, il fallait travailler. Je lui pris la main et l'entrainait vers la sortie. Nous marchâmes en silence, mains dans la main. Je n'arrivais pas à arrêter de regarder ma petite Ayden, si petite par rapport à mon Roméo. Nous arrivâmes vite à l'infirmerie. Une jeune femme sortie du bureau et arriva en courant. Elle me connaissait déjà, j'étais allé la voir plusieurs fois pour trouver un moyen d'accoucher. A présent, j'étais bien contente de ne pas avoir réussi! Elle accoura vers nous et prit doucement la petite des bras de Roméo.

-Félicitations! Elle est magnifique. Je suppose que ce jeune homme et le papa?

Puis, sans attendre de réponse, elle enchaina.

-Je vais faire les premiers soins à cette petite, pendant ce temps, rester tout les deux ici et tenez, Miss Brook, mettez ce pyjama, vous allez passer plusieurs nuits ici.

Je la remerciai du regard et allais m'addeoir sur le lit le plus proche, la regardant m'enlever ma fille si rapidemment. Je pris le pyjama. Mais j'étais trop fatiguée pour le mettre. Je pris la parole d'une petite voix.

-Dit mon ange, tu pourrais m'aider s'il te plait ?!

Je regardais le visage de mon peit amour. J'étais si heureuse d'avoir enfin accouchée. Et en plus, c'était le père de notre enfant qui m'avais fait accoucher. Je lui souris.